Ecozilla

Nous avons décidé de nous tourner vers une possible solution : l'utilisation de RRAM plutôt que de la RAM, la différence résidant dans le caractère volatile de la mémoire. Cette dernière pourrait ne plus être sollicitée à répétition en conséquence de l'ouverture de sites web si elle n'était pas volatile ; on pourrait espérer une certaine conservation de la qualité d'utilisation, bien que la RRAM se doive de se présenter en quantité bien plus importante pour espérer se substituer à la RAM, ou tout du moins l'assister. Dans ce dernier cas, l'enjeu serait alors de déterminer quelles données conserver, mais aussi jusque quand (si l'on procède à un nettoyage de la mémoire).Pour appuyer nos arguments, nous avons utilisé une deux articles scientifiques (Li, Y., Long, S., Liu, Q. et al. An overview of resistive random access memory devices. Chin. Sci. Bull. 56, 3072 (2011). https://doi.org/10.1007/s11434-011-4671-0 et Varshita Gupta, Shagun Kapur, Sneh Saurabh & Anuj Grover (2020) Resistive Random Access Memory: A Review of Device Challenges, IETE Technical Review, 37:4, 377-390, DOI: 10.1080/02564602.2019.1629341) : la RRAM présente de multiples avantages face aux autres types de mémoire : plus rapide, utilisant moins d'énergie, plus dense (dans son stockage), elle souffre néanmoins de quelques soucis de fiabilité. Elle en est cependant toujours au stade de développement depuis plus de 10 ans, bien qu'elle semble retrouver un certain intérêt dans les domaines de l'intelligence artificielle et du machine learning (source : https://en.wikipedia.org/wiki/Resistive_random-access_memory).