Pistes
Piste 1
Apposer un score de type Eco-score sur les produits. Celui-ci permettra d'avoir une idée de l'impact environnemental d'un produit. Ce score a été proposé par l'ADEME (ADEME, 2023) et se base sur l'ACV des produits. Il a donc ses limites car il ne peut pas prendre en compte tous les facteurs (notamment toutes les limites planétaires (Calmein, 2022)).
Piste 2
Calculer l'impact écologique en fonction de facteurs que nous aurons choisis en se basant sur les limites planétaires (définies en 2009 par une équipe internationale de 26 chercheurs) (Calmein, 2022) et/ou les facteurs d'impacts du PEF (European Commission, 2022) .
Piste 3
Apposer un QR-Code (Team FREEDLY, 2022) ou un code-barre (Wikipédia, 2023) sur les produits pour avoir un accès direct à toutes les informations environnementales du produit en le scannant. Cela pourra être sur le code-barre existant déjà sur l'emballage d'un produit (comme le fait par exemple l'application Yuka) ou bien sur un nouveau.
Piste 4
Créer différents impacts (par personne / ménage ou par entreprise par exemple). La majorité des émissions en France proviennent des entreprises. Calculer leur empreinte en plus de celle des citoyens pourrait donc être pertinent (BAUDE, 2022)
Piste 5
Mettre en place toute une partie sur les véhicules particuliers car ils représentent plus de la moitié des émissions de GES du secteur des transports (ADEME, 2023). Le but serait de diriger le consommateur vers des modes de transport collectif ou bien à vélo ou à pied pour les distances les plus courtes.
Piste 6
Créer une application visant à calculer l'impact écologique d'un citoyen (La Note Globale, 2017). Une majorité de personnes pourra ainsi avoir un suivi de ses consommations comme le propose l'application citée dans l'article.
Piste 7
Faire en sorte que le consommateur puisse avoir accès à son empreinte environnementale par catégorie : transports, alimentation, logement, achats de biens et services et services publiques comme mentionné dans l'article (carbone4, 2022).
Piste 8
Comparer l'empreinte carbone des citoyens avec celle recommandée par les Accords de Paris pour ne pas dépasser les 2 degrés supplémentaires d'ici 2050. C'est pertinent car cela crée des objectifs communs que tout le monde devrait essayer d'atteindre. (BAUDE, 2022)