IAgricole

Carla, téléopératrice, arrive chez Jean-Luc sans connaître ses besoins exacts car il ne lui a pas transmis en amont. Lorsqu’il lui explique vouloir uniquement mesurer l’humidité de son terrain, elle adapte son intervention. Elle pose son drone sur une table stable, s’agenouille à côté et déverrouille le compartiment inférieur à l’aide d’un clip métallique. Après avoir repéré l’emplacement du capteur, elle prend le capteur correspondant dans sa mallette, le connecte soigneusement aux broches prévues qui fonctionnent avec NFC et aimant, puis le fixe avec un verrou à glissière pour assurer sa stabilité. Avant de refermer, elle vérifie la connexion en effectuant une calibration rapide via son interface tactile. Une fois sûre que tout est prêt, elle referme le compartiment, enclenche le clip et prépare le drone pour le décollage.

Source Image : https://www.canva.com/dream-lab

Georges débute en tant qu’agriculteur et se demande s’il a bien placé ses parcelles, car certaines zones, exposées plein sud, subissent un ensoleillement intense. Incertain sur la marche à suivre, il contacte Agrifly. Dès le lendemain, Léonard arrive avec son drone et écoute attentivement ses préoccupations concernant les différences d’exposition. Il le rassure : les capteurs embarqués sont spécialement conçus pour analyser l’ensoleillement et la chaleur à différents points du terrain. Une fois en vol, le drone enregistre en temps réel les variations de température et d’exposition solaire, collectant des données précieuses sur chaque zone. Celles-ci sont ensuite combinées aux relevés météorologiques pour obtenir une analyse complète sur une journée, mais aussi sur l’ensemble des saisons. Grâce à cette modélisation, l’IA identifie les zones trop exposées ou insuffisamment ensoleillées et suggère un réagencement des parcelles pour optimiser leur rendement. C’est à dire que le drone a capté qu’il faisait 20 degré dans l’air avec un ressenti au sol pour les plants de 25 degrés en moyenne. Cependant au fond du champs, les plants sont moins exposés au soleil dû à l’ombre de la colline pendant les heures de chaleur. Or les plantes de Georges nécessitent beaucoup de soleil. Ainsi il ne devrait pas compter sur celles-ci dans son rendement et devrait plutôt replanter des plantes à côté des autres. Georges, soulagé, sait désormais où repositionner ses cultures pour limiter les pertes et améliorer sa production.

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