Approfondissement du scénario « commun »
Comment est gérée la propriété collective de la ressource ?
Les drones sont la propriété de l’entreprise, ce qui permet de centraliser leur gestion, leur maintenance et leur mise à jour. Grâce à la plateforme numérique dédiée, chaque drone est identifié et suivi, ce qui garantit une organisation fluide et transparente. Cela évite toute confusion sur les responsabilités et permet à l’entreprise de garantir un service de qualité, standardisé pour tous les utilisateurs.
Comment est gouverné l'accès à l'utilisation de la ressource ?
L’accès aux drones est entièrement contrôlé par l’entreprise via la plateforme. Celle-ci joue un rôle clé dans la planification et la réservation des missions. Les agriculteurs peuvent y louer les services de drones selon leurs besoins, à des horaires définis, tout en profitant d’une assistance technique. Cela permet de structurer l’utilisation des drones et d’optimiser leur disponibilité.
Comment est gérée la préservation de la ressource ?
La responsabilité de l’entretien et de l’état des drones revient à à l’entreprise, et non à l’utilisateur final. L’agriculteur est un client, il ne doit pas assumer les coûts liés aux éventuelles dégradations ou dysfonctionnements. L’entreprise prend en charge l’entretien préventif et curatif, assurant ainsi la durabilité du matériel et un niveau de service constant.
Comment est diffusée la connaissance associée à la ressource ?
Pour développer la notoriété de l’entreprise, une démarche proactive est essentielle : démarcher directement les agriculteurs via des visites, appels ou campagnes ciblées ; collaborer avec des coopératives agricoles qui sont souvent des relais d’opinion importants dans le monde rural ; enfin, miser sur le bouche-à-oreille entre professionnels satisfaits. Une bonne expérience client favorisera cette dynamique.
Comment est envisagée la réplication du modèle dans une logique d'archipélisation ?
La plateforme pourrait intégrer un espace collaboratif où les données récoltées par les drones (cartes, analyses, statistiques) sont partagées entre les utilisateurs, de manière anonyme ou avec consentement. Cela favoriserait l’intelligence collective et l’amélioration des pratiques agricoles, sans brider l’autonomie de chaque opérateur. Ce principe de partage volontaire rend le modèle duplicable ailleurs tout en gardant une certaine souplesse.
Comment est organisée la dépendance de la communauté vis-à-vis d'autres acteurs publics et/ou privés ?
L’entreprise est indépendante (hors fournisseur à un temps précis des matériaux) mais les agriculteurs eux vont être dépendance de l’entreprise car ils vont organiser leur travail autour de celle-ci. Peut-être pour les plus jeunes ne pas savoir travailler sans.