Désescalade numérique

Une nouvelle époque géologique marquée par les conséquences de l’activité industrielle.

Capacité d’utiliser efficacement et avec aisance les outils numériques.

Ce n’est pas remplacer l’existant par son équivalent «libre». C’est recréer tous ces métiers que la numérisation a détruits (paysans, enseignants, employés de bureau,...). C’est aussi remettre des humains plutôt que des machines, des cerveaux plutôt que des serveurs.

La désescalade numérique ne correspond pas seulement à la suppression de l’ordinateur, c’est organiser différemment toute la société pour pouvoir s’en passer.

Instauration d’une certaine relation au monde : la futuration, c’est à dire les manières et moyens de subsister dans un monde qui demeure habitable

Consiste à concevoir les technologies en intégrant la protection de l’environnement dans la démarche.

Label environnemental qui permet d’établir si un produit possède un impact réduit sur l’environnement

Vise à offrir à chaque élève l’environnement scolaire le plus adapté.

(1) Ouvrir partout et tout le temps des espaces d’éducation mutuelle entre pairs dans le but de remettre de la démocratie partout où règne la technocratie ainsi que pour pouvoir discuter chaque choix technique et faire de la technologie un sujet politique.

(2) Il s’agit de transformer nos méthodes d’apprentissage verticaux vers des méthodes collectives plus horizontales s’inscrivant dans le partage des connaissances. Cela sert également à repenser notre conception de la société et des fonctionnements des groupes lors d’interactions.

(3) « L’éducation populaire sert à ce que les citoyennes et les citoyens puissent exercer individuellement et collectivement leur pouvoir. » Paul Masson, « L’éducation populaire comme démarche » dans Cahiers de l’action, n°61.

Description des conséquences du développement, et ce dans tous les domaines.

Espace Numérique de Travail.

Époque où les technologies numériques sont largement présentes dans différents contextes de nos vies.

Il s’agit d’un continuum entre ce qui a été fait dans le passé et aujourd’hui ce qui en découle en ce qui concerne la politique, la technologie, le système, nos industries, etc. C’est également un deuil car nous héritons d’un système défaillant et épuisé voir déjà mort vis-à-vis de la capacité planétaire à soutenir ce dernier. Cela devient alors à une charge et une responsabilité : il est de notre devoir de gérer la situation de quelque manière que ce soit.

Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication.

Paradigmes qui supposent implicitement qu’un horizon de conciliation est naturellement possible, voire souhaitable, entre le développement économique, productif, d’un côté, et l’écologie, de l’autre.

Logiciel de gestion de la vie scolaire

Ouvrir partout et tout le temps des espaces d’éducation mutuelle entre pairs dans le but de remettre de la démocratie partout où règne la technocratie ainsi que pour pouvoir discuter chaque choix technique et faire de la technologie un sujet politique.

(1) Protocole visant à modifier nos modes de vies et nos organisations tout en maintenant nos activités.

(2) Cadre à la fois conceptuel et opérationnel, destiné à faire tenir les organisations publiques et privées, ainsi que les infrastructures et instruments de gestion qui les soutiennent dans les limites planétaires.

(3) Impératif et pratique qui renvoient à des conditions structurelles insoutenables et qui, à ce titre, compromettent la viabilité de la vie sur Terre. Par conséquent, cela signifie qu'il faut rediriger l’existant.

Ressources non vivantes, non créées ou produites par l’Homme comme l’eau, l’air...

La sobriété numérique est une démarche qui consiste à réduire les usages du numérique au quotidien et de concevoir le numérique d’une manière plus responsable.

Le fait d’avoir trop d’équipement numérique comparé aux besoins.

Ecrit tapé, réalisé de manière informatique. Terme s’opposant au mot manuscrit : écrit à la main, sur du papier.

« ensemble des traces matérielles laissées par l’activité humaine contemporaine », «  [Elle] représenterait une masse cinq fois plus importante que la « biomasse » » dans Héritage et fermeture, une écologie du démantèlement, chapitre 3, E. Bonnet, D. Landivar, A. Monin, éditions divergences, 2021, p94-95.