Microscope

Elle repose sur l'identification et la résolution continuelles des inefficacités au sein des processus existants, avec pour objectif d'accroître la productivité, la qualité, et la satisfaction client, tout en réduisant les coûts et les déchets.

source : asana.com

« Benchmark, aussi appelé benchmarking, est un terme anglais qui peut être traduit par les mots référence, étalon ou repère. ». Le benchmark est en effet une technique basée sur l’analyse comparative.

source : cadremploi.fr

Dans notre cas, cela reviens aux tests éfféctués sur les microscope en général ainsi que pour le smart scanning permettant de comparer ses performances à celles des autres produits sur le marché ainsi que les minimum de fonctionnement nécessaire pour remplir le cahier des charges.

« Parce que dans la démarche low-tech, il est essentiel de se connecter aux besoins locaux et aux ressources disponibles sur son territoire, la diffusion ne pouvait être uniquement basée sur des outils en ligne, les personnes qui œuvrent ont besoin de se retrouver et d’ancrer leurs actions. »

source : Low-tech lab

Communauté qui permettrait une évolution constante des modes de réparation, d'optimiser les codes qui permettent de faire fonctionner le microscope, et d'avoir en général, un groupe d'individu favorale et discutant sur leurs retours d'expérience concernant le projet.

source : David Rousseau

« J'entends par convivialité l'inverse de la productivité industrielle. Chacun de nous se définit par sa relation à autrui et au milieu et par la structure profonde des outils qu'il utilise. Ces outils peuvent se ranger en une série continue avec, aux deux extrêmes, l'outil dominant et l'outil convivial. »

« Pour formuler une théorie sur une société future à la fois très moderne et non dominée par l'industrie ». Ivan Illich (Tools for conviviality, 1973)

Société dans laquelle l'Homme contrôle l'outil

source : Low-tech Lab

Les fluorophores sont des molécules capables d'absorber de la lumière à une certaine longueur d'onde (excitation) et de réémettre cette énergie sous forme de lumière à une longueur d’onde plus grande (émission).

source : forum futura science

Le matériel libre et open source (FOSH/OSH) est un concept qui n'est pas sans rappeler celui des logiciels libres et open source (FLOSS/FOSS). De nombreuses licences qui s'appliquent aux logiciels open source s'appliquent également aux fichiers de conception de matériel (comme la GPL). Ces fichiers peuvent être des modèles imprimables en 3D, des conceptions de circuits imprimés ou un processus qui décrit comment reproduire du matériel, le tout sous une licence libre. L'OSH peut également libérer le micrologiciel (FW) ou le protocole de communication entre le matériel (HW) et le logiciel (SW). Par conséquent, FOSH est un terme qui implique que les informations sur le matériel, ainsi que sur les composants FOSS pertinents, sont facilement discernables afin que d'autres puissent les fabriquer.

source : Open Source Hardware Association (OSHA)

« L'impression 3D ou fabrication additive regroupe les procédés de fabrication permettant de créer des pièces en volume par ajout de matière en couches successives. »

source : wikipedia

« Une lentille, dite convergente, transforme un faisceau de lumière parallèle en un faisceau qui converge vers un point situé en aval de la lentille. Au contraire, une lentille divergente transforme un faisceau de lumière parallèle en un faisceau divergent. » Un microscope est constitué d’un objectif et d’un oculaire, que l'on peut assimiler à 2 lentilles convergentes. L'objet AB à observer est placé à une certaine distance de la première lentille qui constitue l'objectif. Cela forme une image réelle A1B1 renversée plus grande que l'objet AB. La deuxième lentille est l'oculaire : elle est positionnée de sorte que l'image A1B1 soit dans son plan focal et que cela forme une image A'B' vue par l'oeil « à l'infini ». 

source : fondationtaraocean

Un logiciel libre est un logiciel dont l'utilisation, l'étude, la modification et la duplication par autrui en vue de sa diffusion sont permises, techniquement et juridiquement. Le but est de garantir certaines libertés induites, dont le contrôle du programme par l'utilisateur et la possibilité de partage entre individus.

source : wikipedia

« Qui ne coûte pas cher ; bon marché ; au rabais. »

source : Larousse

« -Soutenabilité écologique : réduire l'empreinte environnemental des humains.

-Responsabilité sociale : réduire les effets délétères des humains sur les humains.

-Convivialité technique : réduire la dépendance à la technique des humains. »

source : cours IS03 P25, Stéphane Crozat

Volonté de créer une certaine communauté autour de l'outil (codes et réparation)

source : David Rousseau

Le social design de V. Papanek est un exemple de travail qui s’intègre pleinement dans cette définition.

« Le terme sert à qualifier des objets, des systèmes, des techniques, des services, des savoir-faire, des pratiques, des modes de vie et même des courants de pensée, qui intègrent la technologie selon trois grands principes :

Utile

Une low-tech répond à des besoins essentiels à l’individu ou au collectif. Elle contribue à rendre possible des modes de vie, de production et de consommation sains et pertinents pour tous dans des domaines aussi variés que l’énergie, l’alimentation, l’eau, la gestion des déchets, les matériaux, l’habitat, les transports, l’hygiène ou encore la santé. En incitant à revenir à l’essentiel, elle redonne du sens à l’action.

Accessible

La low-tech doit être appropriable par le plus grand nombre. Elle doit donc pouvoir être fabriquée et/ou réparée localement, ses principes de fonctionnement doivent pouvoir être appréhendés simplement et son coût adapté à une large part de la population. Elle favorise ainsi une plus grande autonomie des populations à tous les niveaux, ainsi qu’une meilleure répartition de la valeur ou du travail.

Durable

Éco-conçue, résiliente, robuste, réparable, recyclable, agile, fonctionnelle : la low-tech invite à réfléchir et optimiser les impacts tant écologiques que sociaux ou sociétaux liés au recours à la technique et ce, à toutes les étapes de son cycle de vie (de la conception, production, usage, fin de vie), même si cela implique parfois, de recourir à moins de technique, et plus de partage ou de collaboration ! »

source : low-tech lab

Un microscope est un outil scientifique employé pour examiner des objets qui sont trop petits pour être perçus à l'œil nu. « La microscopie est la discipline qui se consacre à l'examen de petites structures et objets grâce à un instrument spécifique. ». Le microscope est un instrument crucial dans les domaines de la biologie, de la médecine et de la science des matériaux dès lors que les capacités de grossissement d'une loupe ne suffisent plus.

Les principes physiques employés pour l'effet d'agrandissement peuvent varier considérablement. Les microscopes optiques, qui possèdent une ou plusieurs lentilles, sont les plus couramment utilisés. Ils permettent de capter l'image d'un objet éclairé ou qu'il traverse une source lumineuse. Avec le progrès, d'autres méthodes ont rendu possible la reconstruction d'images plus précises, telles que les microscopes électroniques ou les microscopes à champ propre.

source : wikipedia

La biologie moderne repose sur l'observation de cellules vivantes, rendue possible au sein d'organismes modèles par les dernières avancées de la microscopie optique. Le microscope confocal à fluorescence, largement utilisé, génère des images volumétriques à haute résolution spatiale, en balayant le volume point par point avec un faisceau laser. La source lumineuse (généralement un laser) sert à exciter les fluorophores présents dans l'échantillon. Ce procédé permet de donner une carte d'identité moléculaire à un échantillon sans le détruire.

Le phénotypage est l'ensemble des techniques et méthodes utilisées pour observer, mesurer et caractériser les traits ou caractéristiques physiques et physiologiques d'un organisme (le phénotype). Ces traits peuvent inclure la morphologie, la physiologie, le comportement ou la réponse à l’environnement.

Cours de SVT, 3ème, Mme Deschamps-Blanchard

Catégorie du smart scanning nous concernant : le Raster scan.

Cette technique de microscopie permet d’acquierir chaque pixel individuellement avec des jets de photons réguliers. Cependant, les photons « tapent » rarement là où il faut, c’est-à-dire, là où l’appareil de prise de vue peut les analyser (10^-7 en terme de probabilité). Ceci engendre des temps d’acquisition d’environ 42h pour 100x100 pixels! Une solution qui se présente serait le machine learning. Cependant, c’est une technique bien plus lente que des humains en terme de compréhension, elle encourage l'infobesity de par sa nécessité de données permanentes pour progresser. La technique "two-pass" fait un scan rapide pour faire une segmentation en super pixel puis une reconstruction d'image en haute définition avec une mesure pour chaque super pixel. Il y a cependant toujours le problème du benchmark (test de fonctionnement). Mais il y a une compression du temps par un facteur de 220. L’Enderscope sert à cela avec des technologies open source low tech permettant d'avoir de la data moins lourde.

source : photoniques

Les sciences participatives sont « des formes de production de connaissances scientifiques auxquelles des acteurs non-scientifiques-professionnels — qu’il s’agisse d’individus ou de groupes participent de façon active et délibérée ». « Les sciences participativent correspondent à des dispositifs de recherche dans lesquels les acteurs de la société civile participent aux processus de production scientifique. Ces collaborations entre scientifiques et citoyens, entre laboratoires, amateurs et associations, sont aujourd'hui en plein essor.». Elles permettent notamment de brouiller les lignes entre sciences et citoyens et donc de désacraliser ce milieu et le démocratiser.

source : Université Paris Cité et Ministère de la culture

Le smart scanning au microscope désigne une technique d’imagerie intelligente qui optimise l'acquisition des données en adaptant dynamiquement les paramètres de balayage en fonction des caractéristiques de l’échantillon observé. Cette technique fonctionne grace à l’intelligence artificielle, à la reconnaissance d’image et à des algorithmes d’optimisation. Elle permet des rendus d’images extrêmement précis en un temps optimisé. Cette technique est largement utilisé dans le phénotypage des plantes.

« Le design social est le design, qui est conscient du rôle et de la responsabilité du designer dans la société, et de l'utilisation du processus de conception pour provoquer un changement social. Le design social est également une discipline critique qui remet en question les pratiques de conception conventionnelles et tente de voir au-delà de cela dans une conception plus inclusive du design, dans laquelle les groupes d'utilisateurs marginalisés ont la priorité. »

source : wikipedia

On peut souligner le rôle des designers dans l’incitation à la consommation, qui accélère la crise écologique. Les travaux de V. Papanek mettent en avant le rôle des concepteurs dans la création d’un écosystème technique low-tech. Ces aspects là sont réuni sous le nom de « social design ». L’idée est d’avoir, certes de l’innovation et du design, mais surtout d’avoir un projet en phase avec les défis des sociétés dans lesquels le produit va se mouvoir.