Microscope

On parle d’utiliser des LEDs en disant que la consommation sera moindre, cependant nous n’avons pas réalisé le bilan des LEDs nécessitant de rajouter des lignes de code si nous utilisons un contrôle électronique.

Il en est de même pour l'utilisation de capteurs solaires que nous envisageons comme source d'énergie, et que nous mettons en avant comme source plus respectueuse de l'environnement alors que nous n'avons pas mesurer l'impact de telles installations ni quantifié l'énergie apportée par les capteurs pour savoir si cela est vraiment avantageux.

De plus, nous n'avons tout simplement pas réalisé de bilan carbone sur l'ensemble de notre produit, la comparaison avec d'autres microscopes est donc purement une étude abstraite et non chiffrée.

Nous mettons en avant la réutilisation de matériaux mais le smart scanning nécessite tout de même une imprimante 3D et un ordinateur raspberry pi.

Nous mettons aussi en avant le fait que ce microscope est capable de démocratiser la microscopie. Cependant il nécessite tout de même des connaissances poussées (smart scanning) pour réellement pouvoir le prendre en main.

Dire que le microscope est “sans plomb” alors que cette exigence est déjà imposée par la loi européenne (RoHS).

Parler du faible coût et du low-cost alors que cela n'a rien à voir avec le processus de low-techisation attendu.

Nous utilisons, certes, des pièces imprimées en 3D ne nécessitant donc pas de gros systèmes industriels, cependant ces pièces restent en plastique et demandent une certaine énergie pour les concevoir/produire.

Nous affichons un prix total du kit à envrion 200euros et donc une installation entière coûtant environ 500 euros. Ce prix est mis en avant comme étant bas par rapport à la concurrence (envrion 2000 euros) mais cela reste une somme importante pour un individuel.

Nous avons l'ambition d'utiliser des encres 3D certifiés par le label : La Norme Social Accountability 8000.Cette norme  traduit l’obligation des fabricants à respecter les droits des travailleurs dans l’entreprise. Cela n'assure donc rien concernant l'impact de l'encre en elle-même sur m'environnement.

Promouvoir la capacité de recyclabilité du microscope n'a que peu de sens sans étudier les filières qui seraient réellement capables et volontaires pour effectuer ce travail de recyclage.